#FFDay 19, nous y étions !

France Digitale Day 2019 était dans nos agendas depuis des mois. Rendez-vous annuel de l’écosystème digital européen, cette 7ème édition réunissait 4000 entrepreneurs, 200 investisseurs et 25 licornes. Une partie de l’équipe s’y est rendue avec l’enthousiasme d’y faire les rencontres spontanées que permet ce genre de rendez-vous et le plaisir de retrouver des clients, des prospects et des amis du métier !

Outre le lieu (le Musée des Arts Forains), hors du commun, qui dépayse des grandes salles de convention, c’est le programme qui nous a inspirées cette année, en particulier les speeches de l’Impact Stage et du Talent Stage.


Devant nous, se sont succédé plusieurs entrepreneurs qui allient digital et impact social. Nouveauté ? Pas vraiment. Non, ce qui est nouveau, c’est l’importance qu’y accordent les utilisateurs de ses services ou produits, importance qui grandit sans cesse et qui devient un facteur d’achat.

Dans la table ronde « No impact no business / Beyond CSR : the future of business » nous avons entendu que l’on peut encore aller beaucoup plus loin pour valoriser le sourcing et les productions locales. Bravo à ces entrepreneurs et leurs entreprises pour montrer le chemin : Le Slip Français et Guillaume Gibault, JOONE et Carole Juge-Llewellyn, MADE.COM et Jessica Delpirou, Evaneos et Eric La Bonnardiere, Nicolas CELIER.

Dans la table ronde suivante, « Food4Good », deux entrepreneurs de la foodtech nous ont bluffées par leur énergie à vouloir changer le monde. Beaux exemples données par Lucie Basch et TooGoodGoodToGo et Guillaume Fourdinier et Agricool.


Autre workshop notable : « Women and fundraising, how do we close the gap », avec Jean-David Chamboredon CEO d’ISAI et coprésident de France Digitale, Virginie Lazes associée gérante Rothschild & Co, Laura Rouyres fondatrice et CEO de Levia.ai et Tatiana Jama du collectif Sista. Le constat est déprimant : selon une étude réalisée par Sista et le BCG, les femmes représentent seulement 10 % des CEO de la tech et ont 30 % de chance en moins que les hommes de lever des fonds. Pourtant, l’étude souligne que les start-up fondées ou co-fondées par les femmes rapportent 2,5 fois plus que celles fondées par des équipes exclusivement masculines. Une prise de conscience salutaire, première étape d’un changement indispensable pour façonner le monde de demain.

Placée sous le signe du futur, cette édition nous a comblées en portant attention sur son propre impact et se donnant pour objectif d’être zéro déchet en moins d’un an.

Un futur digital et responsable est à construire ! Bravo #FFDay2019 !